L'homme, le savon, l'excellence et la vertu !

savon-vertueux

Rendons ses lettres de noblesses au mot « vertu ».
la vertu, L’arétè des Grecs et la virtus des Latins c’est :
D’abord l’excellence d’une disposition ou d’une capacité à agir dans quelque domaine que ce soit.
Ainsi la vertu du médicament est-elle de soigner,
celle du savon de laver,
celle de l’homme d’agir humainement.
Mais si la vertu est excellence, quelle est donc l’excellence propre de l’homme?
André Comte-Sponville (philosophe) dit de la politesse dans son livre « Petit traité des grandes vertus », que sans être une vertu, la politesse est à l’origine de toutes les vertus, elle les prépare.
Sans la politesse d’écouter l’autre, pas de communication, pas d’amour, pas de justice.
J’aime la façon dont Comte-Sponville nous traduit le monde.
Mais quel rapport avec les savons naturels ?
Nous avons décidés il y a 4 mois de créer une catégorie de savons dit : Savons vertueux.
Des savons dont les vertus seraient par exemple :
Calmer le feu du soleil (un savon appaisant sur les coups de soleil)
Dynamisant du matin ( un savon frais aux agrumes pour le reveil)
Etc…
Mais quel rapport avec la philosophie ?
Par analogie, nos savons vertueux sont comme des politesses offertes au corps, nous préparant le matin en nous debarrasant des impuretés de la veille, lissant et lustrant notre corps pour enfin retrouver nos semblables et partager avec eux l’excellence humaine.
(NDLA: C’est un peu tiré par les cheveux, mais je trouve que ça a une certaine tenu.)
« Petit traité des grandes vertus » publié en 2001 / auteur :  le philosophe André Comte-Sponville.

Rendons ses lettres de noblesse au mot « vertu ».

la vertu, L’arétè des Grecs et la virtus des Latins c’est :
* D’abord l’excellence d’une disposition ou d’une capacité à agir dans quelque domaine que ce soit.
* Ainsi la vertu du médicament est-elle de soigner.
* Celle du savon de laver.
* Celle de l’homme d’agir humainement.

Mais si la vertu est excellence, quelle est donc l’excellence propre de l’homme?

André Comte-Sponville (philosophe) dit de la politesse dans son livre « Petit traité des grandes vertus », que sans être une vertu, la politesse est à l’origine de toutes les vertus, elle les prépare.

Sans la politesse d’écouter l’autre, de lui sourire, pas de communication, pas d’amour, pas de justice.

J’aime la façon dont Comte-Sponville nous traduit le monde.

Mais quel rapport avec les savons naturels ?
Nous avons décidé de créer une catégorie de savons dit : Savons vertueux.
Des savons dont les vertus seraient par exemple :
* Calmer le feu du soleil
(un savon apaisant sur les coups de soleil)
* Dynamisant du matin
( un savon frais aux agrumes pour le réveil
)
Etc…

Mais quel rapport avec la philosophie ?

Par analogie, nos savons vertueux sont comme des politesses offertes au corps, nous préparant le matin en nous débarrassant des impuretés de la veille, lissant et lustrant notre corps pour enfin retrouver nos semblables et partager avec eux l’excellence humaine.

(NDLA: C’est un peu tiré par les cheveux, mais je trouve que ça a une certaine tenue.)

« Petit traité des grandes vertus » publié en 2001 / auteur :  le philosophe André Comte-Sponville.

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